
SOMMAIRE
GLACES ARCTIQUES
- BANQUISE : GLACE DE MER
- LES SATELLITES OBSERVENT LA BANQUISE
- ICEBERGS : GLACE D’EAU DOUCE
- LES GLACES : ARCHIVES DU CLIMAT
- GLACIATIONS ET PAYSAGES
OCÉAN ET VIE MARINE
- L’ARCTIQUE ET LA CIRCULATION OCÉANIQUE
- GENÈSE DE L’OCÉAN ARCTIQUE
- LE PLANCTON ARCTIQUE
- BIODIVERSITÉ MARINE ET RÉSEAU ALIMENTAIRE
- BALEINES ET AUTRES CÉTACÉS
- PHOQUES ET MORSES
VIE TERRESTRE
- LA FLORE POLAIRE
- LA FAUNE POLAIRE
- L’OURS BLANC
- LES OISEAUX DE L’ARCTIQUE
- EVOLUTION DES ESPÈCES ET CLIMAT
HISTOIRE ET GÉOGRAPHIE
- GÉOGRAPHIE DES RÉGIONS ARCTIQUES
- PÔLE NORD GÉOGRAPHIQUE, PÔLE NORD MAGNÉTIQUE
- A QUI APPARTIENT L’ARCTIQUE ?
- LES DÉCOUVREURS DU GRAND NORD
- LES INUITS
- LES AUTRES PEUPLES DU GRAND NORD
- L’ARCTIQUE AUJOURD’HUI
QUEL TEMPS FERA-T-IL DEMAIN ?
Les spécialistes répondent de mieux en mieux à cette question, mais au-delà de 5 jours, l’incertitude plane… ! Pourquoi ? Parce que la Terre est le système le plus complexe qui soit : chaque nuage, chaque coup de vent, chaque surface agricole ou bâtie, chaque courant marin – même en profondeur -, chaque pan de banquise participe au climat ! Impossible de tout connaître, des pôles à l’équateur. Prévoir une tendance saisonnière sera possible, mais jamais le temps qu’il fera dans 15 jours, sur telle plage…
UN RÉSEAU D’OBSERVATION MONDIAL
Sur tous les continents, des milliers de stations de mesures tissent un formidable réseau, pour connaître température, vent, pression, humidité, etc. Avions et ballons-sondes nous donnent ces valeurs en altitude. En mer, navires et bouées enregistrent ces données et nous informent sur les courants. Ainsi sont alimentés les centres de calcul et de prévisions météorologiques.
MÊME DEPUIS LE CIEL
Dans l’espace, plusieurs satellites météorologiques, défilants ou géostationnaires (ils tournent à la même vitesse que la planète, restant ” fixes ” au-dessus du sol), survolent la Terre et nous transmettent images et évolution de l’atmosphère. Cette vision globale et instantanée, complétant formidablement les mesures au sol, est à l’origine des progrès des prévisions.
DES MODÈLES… FIDÈLES ?
Les ordinateurs des météorologues travaillent à partir de valeurs mises en mémoire et selon une méthode préétablie. Pour simuler la circulation des “fluides” terrestres, atmosphère et océan sont découpés en “boîtes” et les calculs effectués de proche en proche. Mais une infime variation initiale aboutit à des prévisions totalement différentes après des heures de calculs ! Il faut encore affiner les “boîtes”, modéliser l’influence du relief terrestre, du vivant, etc. et… attendre de plus puissants calculateurs.